Cette résolution fait suite à un dialogue diplomatique constructif entre le ministre Lamola et son homologue, soulignant la solidité durable des relations bilatérales. Les ministres se sont engagés à faciliter la résolution de toutes les questions en suspens.
En saluant cette avancée, le ministre Lamola a réaffirmé l’importance du dialogue, déclarant : « Ce résultat démontre que la voie diplomatique reste le moyen le plus efficace pour résoudre les défis. Ensemble, nous prouvons que la coopération et la compréhension mutuelle peuvent ouvrir des opportunités communes. »
Il a souligné les liens profonds entre l’Afrique du Sud et la Tanzanie, fondés sur un esprit de solidarité africaine et une vision partagée de prospérité mutuelle. « Nos nations sont unies non seulement par l’histoire, mais aussi par un engagement collectif en faveur du panafricanisme, de l’intégration économique et d’une croissance inclusive », a-t-il ajouté.
Cette annonce coïncide avec le 61ᵉ anniversaire de l’unification de la Tanzanie — un jalon historique célébré chaque 26 avril. Ce jour-là en 1964, le Tanganyika et Zanzibar se sont unis pour former la République-Unie de Tanzanie, transcendant leurs divisions pour forger une identité nationale commune. Le ministre Lamola a salué cette occasion comme « un phare du panafricanisme », notant que le parcours de la Tanzanie continue d’inspirer le continent.
« Alors que l’Afrique du Sud s’apprête à commémorer sa propre Journée nationale de la Liberté le 27 avril, nous puisons de la force dans l’exemple de l’unité dans la diversité offert par la Tanzanie. Leur histoire nous rappelle que le progrès naît de la solidarité et que nos destins, en tant que nations africaines, sont étroitement liés », a-t-il déclaré.
En regardant vers l’avenir, le ministre Lamola a exprimé son optimisme quant à un approfondissement de la collaboration, appelant à poursuivre les efforts pour renforcer le commerce, les liens humains et l’intégration régionale.
« Que cette décision serve de tremplin vers une collaboration encore plus grande, alors que nous travaillons ensemble pour réaliser les aspirations de l’Agenda 2063 : L’Afrique que nous voulons », a-t-il conclu.
