L’approche de l’Afrique du Sud en matière de conservation des éléphants et des rhinocéros repose sur la durabilité, la protection de la biodiversité et le soutien aux communautés vivant à proximité de la faune sauvage.
De récents articles de presse ont laissé entendre que l’Afrique du Sud comptait rompre avec le consensus international sur le commerce de l’ivoire et de la corne de rhinocéros avant la prochaine Conférence des Parties (COP20) de la CITES. Cette affirmation est incorrecte.
Le ministère des Forêts, de la Pêche et de l’Environnement (DFFE) réaffirme que l’Afrique du Sud demeure pleinement engagée en faveur de l’interdiction internationale du commerce commercial de l’ivoire et de la corne de rhinocéros. Notre politique est guidée par la science, l’éthique et la coopération internationale, et non par des intérêts commerciaux.
L’approche sud-africaine en matière de conservation des éléphants et des rhinocéros repose sur la durabilité, la protection de la biodiversité et le soutien aux communautés vivant aux côtés de la faune sauvage. Le ministère continue de collaborer étroitement avec ses partenaires régionaux et internationaux pour lutter contre le braconnage, démanteler les réseaux de trafic et renforcer l’application des lois sur la protection de la faune.
L’Afrique du Sud affiche un solide bilan en matière de gestion responsable de la conservation dans le cadre de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Sa participation aux processus de la CITES vise à protéger les espèces, préserver l’intégrité écologique et garantir que la conservation apporte des bénéfices sociaux et économiques durables.
Toute suggestion selon laquelle le ministère chercherait à affaiblir les accords internationaux ou à compromettre les efforts collectifs de conservation est infondée. La priorité du DFFE est claire : assurer un avenir où les éléphants, les rhinocéros et les êtres humains peuvent prospérer ensemble.
